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Cultiver son jardin, accorder des plantations, admirer les fleurs, récolter et déguster ses légumes… l’enthousiasme du jardinier qui, pour la première fois, se lance dans cette belle aventure doit être un peu canalisé. Les conseils de notre spécialiste afin d’éviter certaines erreurs récurrentes chez les « apprentis ». Les végétaux de moyenne rusticité ( mimosa, camélia, agapanthe, anisodontea, azara… ) sont réservés aux jardins de bord de mer et du midi. Ailleurs, surtout en climat continental, n’adoptez que des plantes très rustiques ( lilas, iris des jardins, pivoine, glycine… ). Les températures sont souvent différentes, dans un même département, en fonction de les zones. Le long du littoral, il peut y avoir jusque entre 5 et 8° de différence, durant l’hiver, entre une ville côtière et une ville à 50 km dans les terres. Le vent, l’humidité, les pluies plus ou moins courantes, tout influe sur les crudités. La haie, écrin du jardin, est la priorité ! Imaginez-la variée, attractive, voire même gourmande, autant pour vous que pour les oiseaux et les papillons. Dans un premier temps, optez pour des crudités faciles à vivre ( hémérocalle, géranium vivace, chèvrefeuille, groseillier… ) : les petites raretés ( arisaema, cypripedium, bletilla… ), c’est pour plus tard ! Si completement vous tenez à une plante bijou, cultivez-la en bocal.
Sais-tu que le jardinage a des intérêts surprenants, particulièrement sur la forme ? En plus de nous faire prendre de l’air, mettre les mains dans la terre offre une montée de sérotonine, un antidépresseur naturel produit par nos neurones. Et si jardiner est bon pour le moral, il est tout aussi intéressant pour le climat ! On t’explique pourquoi et on t’indique quelques réflexes à choisir maintenant pour te faire du bien à toi… ainsi qu’à la planète ! Un potager , ce n’est pas qu’une idée de légumes ! Tu peux y semer aussi des plantations autochtones, comme l’asclépiade ou l’amélanchier, qui participent à préserver la biodiversité tout en augmentant la résilience des écosystèmes. Certaines fleurs ne peuvent se reproduire sans l’intervention d’un pollinisateur ( insectes, chauves-souris ou oiseaux ), elles ont donc besoin d’un milieu de vie qui leur est favorable. Autrement dit, planter un peu de tout aide ton jardin à faire face aux changements climatiques avec panache ! Étiez-vous le type d’enfant à refiler vos petits pois à votre chien sous la table ? À simuler un mal de ventre chaque fois qu’on vous servait des choux de Bruxelles ? À passer commande une salade avec extra vinaigrette et sans laitue ? Si le simple fait de vieillir n’a pas remplacé vos sentiments face aux légumes, les faire pousser vous-même peut vous y amener. Une revue d’études publiée en 2017 dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics a divulguer que les enfants qui avaient été initiés au jardinage mangeaient plus de fruits et de légumes.
L’horticulture est intéressant pour la forme. Le constat est intuitif et la preuve scientifique est faite. Nous en avons tous fait l’expérience, que ce soit plus ou moins consciemment. L’effet bénéfique le plus évident est l’impact positif sur notre physique. Le jardinage est une activité d’intensité faible à moyenne qui nous garde actifs, sans toutefois nous essouffler. Sa nature d’intensité faible nous permet de la pratiquer pendant de longues heures. Passer 2 heures à jardiner correspond à soumettre notre corps à une panoplie de mouvements et contorsions, et ce, en continu. C’en est presque une séance de yoga ! Un autre effet perçu est le sentiment d’apaisement pendant et après l’activité horticole. Pour qui livrent une bataille quotidienne au stress, il a été démontré que le jardinage aide à d’abaisser les hormones liées au stress et à reussir à garder le sentiment de bonne humeur plus avec vélocité et plus longtemps que la lecture de activité. La planification du jardin fait appel à plusieurs process cognitifs en plus de solliciter notre créativité. La recherche de la bonne plante pour notre cadre ( sol, eau, ensoleillement, compagnonnage ) occupe notre esprit, tout comme ces mille et une petites attentions que nous avons quand nous entretenons nos plantations. D’associer autant de stimulations psychologiques à des mouvements physiques doux devient très adoucissant pour les esprits surchargés. Si vous rêvez d’un jardin unique et différent et que votre créativité paraît en hibernation, une petite expédition à la pépinière ou dans nos serres suffira pour vous inspirer.
Le jardinage comprend une chose de décision de problèmes qui peut aider à améliorer les fonctions cognitives ainsi que la mémoire en panne et sur une longue période. Par exemple, le mental est sollicité lorsqu’il s’agit de déterminer ce qu’il faut planter et à quel moment, d’apprendre à connaître de toutes nouvelles plantations et de profiter de de nouvelles techniques de plantation. Le jardinage permet aussi d’aider à s’aérer l’esprit, de solliciter la perception sensorielle et de recréer la capacité de concentration. Les personnes qui s’adonnent régulièrement à des activités de jardin peuvent disposer d’une meilleure santé mentale. Travailler au jardin, c’est avoir tous les sens en éveil. La vue est sollicitée par les fleurs et les insectes, le toucher par la terre, l’odorat par l’odeur des fleurs et de l’herbe et l’ouïe par les bruits . Et le goût dans tout ça ? Il ne sera pas en reste, soyez sûr : déguster les aromates ou picorer quelques tomates cerises, fraises ou autres délices de la nature sera l’objectif numéro un des enfants au jardin ! Jardiner en famille, c’est faire découvrir la nature à vos enfants. Observer la flore et la faune est fascinant et enrichissant. Vos enfants vous poseront mille et une questions. Soyez prêts à leur répondre pour les aider à appréhender tous les rouages de la nature et n’hésitez pas à leur transmettre vos meilleures astuces de jardinier au passage.
Nous savons tous que pour pousser, les plantations ont besoin de nutriments. Elles les puisent le plus souvent en terre. Mais vous avez aussi la possibilité de le leur fournir. L’un des composants les plus importants pour ça est le terreau. Pour éviter tout risque, il faut choisir le terreau qui convient le mieux à la race de la plante. Il doit rester conforme au pot, au potager et à la terre utilisée pour recueillir la plante. Que vos plantes soient en pleine terre ou sur des étagères solidement fixées avec des tirefonds de bonne qualité, le terreau est un nécessaire pour une bonne croissance. Le pire qui puisse arriver en jardinerie est de planter ses plantes trop tôt ou trop tard. Renseignez-vous donc sur les dernières dates de gel enregistrées dans votre zone. C’est une précaution à prendre pour ne pas éliminer involontairement vos plantes. Il est aussi fondamental de savoir la date de gel pour gagner les plantes dans le bon timing ou leur offrir une meilleure protection. Le but est d’éviter qu’à la fin de l’automne la basse température n’endommage les plantes. Un bon jardinier entretient fréquemment ses plantes. Elles sont comme des enfants qui doivent être chouchoutés. Votre mission est de les arroser comme il le faut, de les tailler au moment venu, et de les préserver de la sécheresse. Car la lumière joue important dans le process de la photosynthèse, mais elle peut facilement mettre en péril la plante lorsqu’elle est trop orienté sous le soleil. il faut aussi veiller à enlever la plante des mauvaises herbes et retirer les feuilles fanées.
apprenez à reconnaitre les espèces les plus courantes, sera à terme un gain de temps. Si elles s’installent c’est parce que le sol est nu. Celles à retirer sont notamment le chiendent, liseron, armoise, oxalis, sans oublier les échardes et chardons avec une bèche afin d’extraire leurs racines. Les annuelles s’arrachent facilement à la main ou avec un sarcloir et peuvent servir au compost, être enfouies dans un trou par terre à condition qu’elles n’ont pas grenées où être brûlées. De nombreux remèdes d’origine naturelle existent pour en résulter à bout : la cendre de bois, purin d’orties ou d’Angélique, paillage, eau bouillante ou de cuisson des pommes de terre, huile importante de basilic, vinaigre blanc, sel iodé et bicarbonate de soude. Mais toutes ne sont pas enlevées ! Certaines adventices conservent la biodiversité et sont nécessaires au sol ( rumex, trèfle ), aux animaux et pollinisateurs ( pâquerette, bardane, graines ). D’autres peuvent être utilisé pour des préparations pour la forme, telles que l’ortie, sauge, bouillon blanc et chélidoine. Produire son compost naturel est un excellent moyen de recycler les déchets du jardin et de cuisine pour les transformer en engrais organique. Il sera votre meilleur atout pour la santé de vos fleurs et de vos arbres ! Il perfectionne l’aération du sol et facilite la rétention de l’eau et des substances nutritives. Le compostage est un process lent qui demande de la patience mais la présence de vers de terre dans les déchets de terre accélère la décomposition et améliore la qualité du compost. Installez- le en situation abritée et ensoleillée, idéalement entre 20° C et 24° C. On peut y mettre tout autre type de déchet végétal, sauf mauvaises herbes vivaces, tiges ligneuses ( à part si broyées ) et du fumier animal sauf déjections canines ou félines. Les feuilles mortes peuvent être à chaque instant recyclées pour faire du terreau ou du compost. En cuisine, on extrait les épluchures de fruits ( sauf les agrumes qui se décomposent qu’à partir de 60°C ), de légumes, marc de café, coquilles d’oeufs, papier absorbant, carton… Mais pas de pain dans le compost car il est trop riche en ferment, ni pâtisseries !
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